Prénom : Vaan Zaror
Age : 28 Année sombre..
Sexe : Homme
Classe : Lieutenant du crépuscule..Origine du Crépuscule
séxualité : Hétérosexuel
Description physique : Doté d'une taille impressionante et de musculature impensable..Le crépuscule lui a forgé un corps de rêve..Puissant et résistant a tout les climats possible..Stature haute et droite..Visage rond et normal..De long cheveux noirs pende près de ses oreilles..Jambe forte et solide..Ses pognets peuve tenir n'importe quel arme..Très adroit a l'épée Vaan est grand et puissamment bâtis. On peut même dire que c’est une sacré armoire à glace mais heureusement son visage sympathique et agréable lui donne l’air d’un bon bougre, alors même que ces mains sont de véritable battoirs. Il porte plusieurs cicatrices, trace de combats obtenus durant son service ou à l’entrainement, mais n’en fait pas étalage, et, heureusement, n’en porte aucune sur le visage. Ses cheveux longs portés assez longs sont ceux de son père et, pour ne pas lui ressembler, il prend garde à se raser impeccablement chaque matin.
Mais ces manières un peu gauche et son accent campagnard trahissent sans contestes ses origines, dont il est fier, mais en cas de besoin (et au pris de quelques efforts) il est capable de survivre en société sans commettre d’impairs majeurs.
Quand il porte son uniforme, son attitude est martiale, il se tient droite, le regard fier, très cérémonieux, et toujours impeccablement vêtus. Même en civil, on ressens son côté rigide et militaire, mais son franc parler et sa propension à rire font rapidement oublier ce genre de détail.
Caractère : Froid et insensible..Par contre il sait se démontrer..Hors de sentiment et vile..Sa méchanceté n'a de but que de nourrir le Crépuscule..Mais bien sûr..On a forgé dans son coeur un peu d'amour et de bonté..Mais il est rare que son usage se montre..Droit, c’est la première chose qui vient à l’esprit quand on pense à lui. Il a été élevé pour être honnête et travailleur, et le moule que son père lui a imposé c’est parfaitement imprimé sur ce caractère : il est franc, incapable même sans doute de mentir, parfaitement honnête, fiable et toujours désireux de porter assistance aux autres. Son sourire est contagieux, et c’est un bon camarade, et beaucoup dise qu’on ne l’a encore jamais vu en colère. Enervé, oui, déterminé sûrement, mais réellement, en rage, jamais.
Il est à noté que sous ses dehors un peu rustaud, Vaan est doté d’un esprit vif et est un enquêteur minutieux et perspicace.
Arme : Une Épée tranchante..
Equipements : Boomerang Tornade..Arc du Héros..Tunique de Zora
Forme animale : Il peut se transformer a volonté en Loup noir
Botte secrète : Une Dague caché dans sa botte..Il peut s'en servir pour tuer traîtrement..
Histoire : Descendant De Ganondorf Vaan est issus, comme on l’a vu d’une famille nombreuse (entre ses frères et sœurs, ses oncles et tantes, ses cousins cousines… ça fais du monde !), et particulièrement paysanne. Ses parents étaient réellement amoureux l’un de l’autre, et sa mère avait quitté le Lac Hylia ou elle oeuvrait à l’atelier des Tisserands pour s’installer sur l’exploitation du village Kakarico.
Cette exploitation était de taille modeste, et lorsque son père s’y installa, tout était à y faire, jusqu’au défrichement des champs. Les premières années furent rude pour le couple, qui s’était mis en ménage très jeune , mais les effrots payèrent et les terres se montrèrent fertiles, permettant à son pèred’espérer nourri convenablement sa famille. C’est lorsque les terres commencèrent à donner que naquit leur premier fils, pour la plus grande joie des deux parents. Le beau bébé devint un solide petit garçon, qui fut rapidement suivis par un frère,VAAN Zaror. C’est dans cette atmosphère simple mais saine, entourant de parents attentionnés, chacun à leur manière, que le petit garçon grandit. Il avait la campagne pour terrain de jeu, et lui et son frère ainé était très complice. On les voyant souvent cavaler à travers champs, jouant à être des cavaliers Hyliens, des gardes ou des voleurs… Les deux gaillards faisaient la fierté de leurs parents !
Puis les naissances s’enchaînèrent, la famille s’agrandit pendant que les enfants, eux, grandissaient. Son Père se fit un devoir d’essayer d’enseigner à ses fils tout ce qu’il savait, mais si sa soeur s’y intéressa très jeune (dès ses 6 ans, il avait un petit lopin de terre pompeusement surnommé potager, sur lequel il exerçait ses talents, et n’était jamais aussi fier que quand sa mère préparait le repas du soir avec ses légumes !), Vaan s’y intéressa plus modérément, tandis que son frère, lui, n’en avait strictement rien à faire, préférant écouter les contes de l’oncle Urgola quand il venait en visite, ou aller au château d'hyrule se mêler aux enfants du coin. Les gardes le ramenèrent plus d’une fois après des bagarres avec les jeunes « citadins ». Mais son père ne se formalisa pas de voir ses fils délaisser l’agriculture : d’une part, il avait trouvé son « héritier » en la personne de sa femme, et d’autre part, il savait que ses terres ne seraient pas assez vaste pour nourrir les familles de tout ses enfants… ni même de simplement plus de deux d’entre eux !
Aussi les poussait-il à trouver chacun leurs voies. Mais le drame frappa cette famille heureuse, lorsque par une terrible nuit d’automne, alors que sa grossesse touchait à son terme, Sa mère fut l’objet d’un violent malaise, de saignement abondant et de nausée. Elle qui ne s’était jamais plainte se retrouva cloué au lit, et lorsque arriva le guérisseur, il était déjà trop tard pour elle, elle avait perdu trop de sang. Il parvint à sauver le bébé, et sa mère décéda quelques instants après la délivrance, son bébé posé sur sa poitrine. Toutes la famille fut terriblement secouée par cette perte, et pour faire face, Derenars son père dû faire appel à une nourrice, pour donner le sein au petit et s’occuper de lui pendant qu’il était à l’ouvrage (et, doit on le dire, pour assurer des tâches dont il ignorait tout comme de laver un bébé, de le changer, de le bercer…).
Le fait que le petit, lui ait une mère de substitution alors qu’eux avait perdu la leur, le fait qu’il soit responsable de cette mort, et l’incapacité de Derenars à aider ces enfants à surmonter cette épreuve (lui-même mis près d’une révolution à s’en remettre, et à faire autre chose que travailler comme un automate !) firent du petit frère de Vaan le bouc émissaire de la petite famille. Seul Vaan osait prendre sa défense, allant jusqu’à affronter ses frères pour protéger le « petit bâtard ». Etoile, elle, était bien trop jeune pour se rendre compte de quoi que ce soit. Cela créa une fracture entre les membres de la fratrie, et malgré les années malgré le recul, malgré les efforts de Derenars, la fracture ne se referma jamais réellement. Bien sur, en grandissant, les enfants ont compris que le petit Vaan n’était pas responsable et souffrait autant qu’eux cde la perte de sa mère, et lui-même parvint à comprendre le pourquoi d eleurs réactions. Mais si les relations sont cordiales entre eux il y a quelque chose d’emprunté, quelque chose de distant entre eux, la gêne de tout ce qu’ils n’ont pas pu exorciser. Enfin, plus les enfants grandissaient plus cette rivalité se calmait. Les deux clans se rapprochèrent mais ne reformèrent jamais une seule famille, d’autant que les deux aînés avait chacun, instinctivement, pris sur lui l’éducation de ses cadets membre de son « clan ». Et les enfants grandirent. Le premier à trouver sa voie fut Derloën, qui épousa celle de son père et décida tout naturellement, comme une rivière suit son cours, de devenir fermier. Les autres furent soumis au test de l’atelier de la harpe, et Andanars montra des disposition qui lui valurent, dès ses douze ans, de rejoindre l’atelier en qualité d’apprentis. Dans le même temps, Derelia elle déclara vouloir devenir éleveuse, et grâce à quelques amis au sein de cet atelier, Derenars pu y envoyer sa fille sans mal. Andaeinn, lui, pourtant leur aîné, ne savait toujours pas ce qu’il désirait faire. Il s’était surtout occupé de ses frères et sœurs en bas âge, mais comme disait son père « t’frais une bein mauvaise nourrice par rapport qu’t’auras jamais b’coup d’lait ! ». Lorsqu’il s’inquiéta de son avenir, il avait 16 an, il savait ne pas vouloir passer son temps courbé à égratigner la terre pour lui arracher sa subsistance, son manque de culture et de prédisposition lui ferma les portes de l’atelier de la harpe et de l’atelier des guérisseurs. Il n’envisagea même pas le métier de marin Il s’essaya à l’atelier des Forgerons, et des ébénistes mais ses aptitudes n’étaient pas assez élevés par rapport à son âge.
Tout les ateliers semblait avoir le même refrain : vous serviez venu plus tôt, avec du travail, vous auriez fait un membre de notre profession très respectable, mais là… Ils ne continuaient en général pas leur phrase, ce n’était pas nécessaire, et comment dire à ce grand gaillard qu’ils préféraient se focaliser sur des apprentis plus ou moins doué, mais plus jeunes, plus malléables. Finalement, il partit en ville pour essayer de trouver des petits boulots. Il parvint à se faire embaucher de ci, de là, en tant que journalier, et se résolut, à l’âge de 17 an rejoindre le seul endroit où il avait réussis à trouver un poste : les Mines du lac hylia. Là bas, nul besoin de compétence particulière si ce n’est des bras comme des poteaux, des jambes comme des troncs et un dos comme du roc pour pousser les lourds chariots de minerais là où les coureurs ne pouvaient aller. Lui qui ne supportait pas d’être enfermé à longueur de journée allait devoir passer son temps sous terre sans voir le soleil. Mais à la veille de son départ, alors qu’il avait pris pris une chambre en ville avec toutes ses économies pour être sur de ne pas rater le départ de la caravane de nomade avec laquelle il devait faire la route vers son bagne, il fit la rencontre qui allait changer sa vie.
Descendant aux aurores, son sac sur l’épaule, il arriva alors que deux malandrins avaient assomé le patron de l’établissement, et que l’un versait le contenu de la recette de la veille dans un sac, tandis que l’autre rempliassait un autre sac de toutes les bouteilles d’alcool que possédait le tenancier. Ce n’était pas son argent, il n’y avait pas mort d’homme, mais il ne pouvait laisser un tel acte impuni ! Bondissant des escaliers, il chargea les deux hommes, mettant celui près de la caisse à terre d’un revers du poing avant de se retrouver face à face avec l’autre, qui avait sorti un long poignard. Vaan marqua un temps d’hésitation, avant de plonger sur l’homme et de lui saisir le poignet du bars d’arme dans une poigne d’acier, puis de lui asséner une série de coups de poing à démâter un navire !
Lorsque l’aubergiste revint à lui, grâce aux bons soins (un peu rude, certes, tel la désinfection de la plaie qu’il avait au crâne à l’aide d’alcool de sa réserve…), il fut étonné de retrouver sa caisse et ses deux voleurs. Vaan l’accompagna pour les emporter aux gardes du Fort, et c’est là que le Crépuscule..Vînt chercher le mal en lui..Il fut l'origine de des nuits en hyrule..
Objet : ..
Bottes secrètes :
Fragments de triforce trouvés : 1 Morceau
Ame-soeur : ..
Equipement : Rien pour le Moment
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Sujet: [Validée] Vaan Zaror ![[Validée] Vaan Zaror Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/darkages/icon_minitime.gif){kind=icon}
Ven 29 Déc - 11:32
